Sur un format court de 2 min, ces morceaux font état des introspections plus ou moins profondes de l’artiste. Fort du succès des Volumes 1 et 2, Achim clôture le format avec une compilation de ses Gamberges du soir et le dernier morceau de l’opus GDS 12.

Premier confinement, Achim balance sa première gamberge…

Après les premières annonces gouvernementales, Achim pose des mots sur un sentiment commun d’angoisse.

Il dévoile le morceau à sa communauté et rencontre un succès immédiat. Il décide alors de continuer sur sa lancée et propose chaque mois une nouvelle gamberge traitant de sujets de société, amenant l’auditeur à se questionner sur lui-même et sur le monde d’aujourd’hui.

Ces morceaux sont accompagnés de clips réalisés par Alexandre Lhote. Inspirées de la pop culture et reprenant des références connues de tous, ces vidéos illustrent parfaitement la vision d’Achim. Elles rendent les gamberges si particulières et appréciées du public.

Un an plus tard et douze gamberges à son actif, il clôture cette année hors du commun sous la forme d’une compilation.

GDS 12 clôture les gamberges sur une promesse.  

Sur un fond pessimiste et un champ lexical sombre, Achim conclut son année de réflexions sur un texte, en réalité, emprunt d’espoir.

« Comme un barber qui fait les contours d’un hémophile, je me sens sur le fil. Je sais que nos chances sont infimes, moins d’une sur mille ».

L’artiste se livre à travers ce morceau d’une manière douce et posée. Le calme de l’instru et la justesse des textes dévoilent une facette de l’artiste mature et sincère. Il poursuit ses rêves et prendra sa part du gâteau quoi qu’il en coute.